Samedi à 8 heures du matin, après une nouvelle nuit d’explosions et d’alertes rouges, un silence étrange dans la ville d’Ashkelon. La rumeur s’est répandue en quelques minutes. Un cessez le feu pour quelques heures. Roza, 92 ans, immigrée du Maroc dans les années cinquante a refusé de sortir de chez elle. Mais toute sa famille, ses enfants, petits et arrières petits enfants, comme des milliers d’autres familles ont passé la journée au soleil, sur les belles plages de la ville, de nouveau bondées. Quelques heures de normalité.
A 22 heures, la sirène d’alarme retentissait de nouveau à travers la ville. Vous voyez, heureusement que je suis restée chez moi, commente Roza. Jamais nous n’avons vécu cela en Israël. Les maisons des juifs bombardées? Comment est-ce possible?
Merci de vos nouvelles journalières. Vous êtes tous si courageux.
En pensée et avec tout mon coeur
Christiane
Année 69 kibboutz ashdot yaacov tous les soirs des katoiuihka de jotrdanie on les entendais siffler au dessus de nos têtes …un ravaire m’avais dis tant que tu les entends siffler ça vas …rien n as changer sauf le dôme de fer…am Israël haii